Agressions à main armée, intimidations, violences contre des policiers, tentatives de meurtre : interdisons les antifas !
L'assassinat du militant conservateur américain Charlie Kirk par un militant antifasciste n’est pas un événement isolé, il est symptomatique des moyens d’action de l’extrême gauche et de la mouvance antifa.
Aux États-Unis, cette tragédie a conduit à leur classement comme mouvement terroriste. En France, les exemples ne manquent pas pour en arriver aux mêmes conclusions.
- 18 mai 2019 : en marge d’une manifestation sauvage, plusieurs militants de l’Action Antifasciste Paris Banlieue (AFA-PB) mettent le feu à une voiture de police dans laquelle se trouvaient deux agents.
- 22 février 2022 : le meeting d'Eric Zemmour en Bretagne doit être annulé après que la salle prévue ait été attaquée au cocktail Molotov et à l'arme à feu. Déjà en 2021, lors de son premier meeting, 11 cocktails Molotov avaient été retrouvés sur des opposants antifas.
- 22 décembre 2023 : sept militants d'extrême-gauche sont condamnés pour "association de malfaiteurs terroristes" .
- 16 octobre 2023 : le député LFI, alors porte-parole de la Jeune Garde Antifasciste, Raphaël Arnault, menace Alice Cordier de lui « mettre une balle dans la tête ».
- 27 mai 2024 : un groupe de neuf militants de la Jeune Garde Paris assène des gifles au visage d'un jeune homme de 15 ans, de confession juive, dans une rame de métro, en le traitant de « sioniste » et en lui faisant crier « Vive la Palestine ».
- 19 novembre 2024 : deux étudiants de la Cocarde sont attaqués au couteau sur le campus de la Sorbonne.
- 30 janvier 2025 : le procureur de Grenoble déclare que sa région est victime d'un attentat d'ultragauche tous les six mois, comprenant notamment des incendies de casernes de gendarmerie, d'un pont, et d'une église.
- 28 mars 2025 : sur le campus de l'université Paris 8, des étudiants de la Cocarde sont braqués avec une arme à feu par un militant d'extrême-gauche.
Cette liste non-exhaustive n'inclut pas de nombreux autres attentats, sabotages, et violences politiques commis par des militants antifas ces dernières années et que nous avions déjà dénoncé dans un article.
La dissolution de la Jeune Garde n'est pas suffisante, car c'est un système tout entier qu'il faut faire tomber. Face à cette violence inouïe, gratuite et organisée, il est urgent de prendre des mesures fortes, à l’image de l’appel lancé par Donald Trump, déjà relayé par le Parlement néerlandais et le ministère des Affaires étrangères hongrois.
Demandons l'interdiction de ces groupuscules et leur classement en ce qu’ils sont réellement : des organisations terroristes. Signez notre pétition !
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